Souffrance
la souffrance, dans l 'enseignement bouddhiste c'est la première noble vérité. Elle n'a d'intérêt qu'en regard de sa cessation, fournie par la méthode. Comment la souffrance pourrait elle cesser si elle était inscrite dans les astres ? Elle ne pourrait pas .
La Souffrance est donc entièrement due à l'ignorance. Il faut donc la considérer comme un fruit du libre arbitre . si tant est que la liberté existe.
Car notre soit disant libre arbitre est très largement conditionné. Le point à retenir est que les astres ne créent pas la Souffrance ils ne créent que la dysharmonie, qui est une condition karmique.
Dysharmonie
La dysharmonie est une condition karmique . c'est à dire le fonctionnement de l'univers en vue de la résorption de la distance entre l'absolu et le relatif.
lorsque l'erreur se joue, l'univers met en place une situation pédagogique qui permet la progression sur le chemin qui mène à la fin de l'erreur.
Cette situation pédagogique est un signal d 'alarme qui met en évidence l'erreur face à la conscience de l'être qui l'a comise. Cela pourrait s'apparenter au fonctionnement du système immunitaire. Ne nions pas la composante de désagréable qui existe dans la correction des erreurs. Mais sachons identifier que la stimulation par le désagréable crée des actions positives- bien identifier que la souffrance est plus vaste que le dysharmonie .
Noirceur.
A présent que nous avons défini la souffrance et la dysharmonie, la place de la noirceur se dessine d'elle même- la noirceur peut être associée au pouvoir invisible représenté par Pluton. En elle même elle n'est ni bonne ni mauvaise. Simplement, apprivoisée, elle devient un outil. L'outil le plus puissant. En revanche une noirceur qui dysfonctionne sera un empêchement dans la réalisation des désirs. La pratique des méthodes de méditation, de concentration et d'absorption vaincra efficacement tous les empêchements.
